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Novembre
Centenaire 1914-1918
Par Mirentxu Biscay • Publié le 09/11/2018
Dans le cadre du centenaire de la Première Guerre Mondiale, nous avons revu tout ce qui a été appris l'an dernier afin de participer au projet d'écriture des mémoires d'un soldat.
Ensuite, à partir d'une image de soldats dans les tranchées (ci-dessous) et de consignes adaptées ux capacités de chacun, ils on écrit des textes à plusieurs ou seuls en se corrigeant à plusieurs (pour les CM2).

Les voici ci-dessous:


Consignes : Tu es un jeune soldat qui a rencontré un chien qui t'a rendu service.

Ecrire 7 à 10 lignes au passé composé (et imparfait si besoin).
Respecter la chronologie des événements.
Eviter les phrases trop longues.
Commencer par une introduction et terminer par une conclusion.

Alors que j'étais affamé, j'ai fait la rencontre d'un nouveau compagnon.
J'ai perdu ma gourde au front. Ce chien était si brave et courageux qu'il m'a rapporté ma gourde qui était remplie d'eau. Il était plein de terre, de boue et de sang. Il était marron, grâce à la pluie, il est devenu blanc. Je l'ai remercié et je lui ai donné un peu de mes provisions. Il m'a apporté de la nourriture des « boches » parce que je l'avais bien dressé.
Il s 'appelait Biscuit, c'était mon ami.

Mikel CM2

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Un matin en octobre 1918, sur le front, un magnifique petit chien a sauté dans la tranchée et m'a sauvé la vie.
Il s 'appelait Askar. Il était très courageux. Il m'aimait beaucoup. Il était marron et blanc.
Depuis deux jours, il m'a rapporté de la nourriture pour le front. Un obus a explosé devant lui, mais il a été seulement assommé.
Depuis ces deux jours, il ne m'a plus jamais quitté.

Peio B CM2

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J'ai rencontré un chien très sale qui puait. Il était noir comme moi.
Les « boches » ont lâché du gaz, mais moi je n'avais pas de masque à gaz. Heureusement, le chien m'a apporté cette protection. J'ai décidé de l'appeler Jean. Jean m'a sauvé la vie. Il m'a protégé des rats. Mais, les allemands ne savaient pas qu'il était avec moi. Ils ont donné à Jean de la charcuterie, alors il nous a donné à manger et même à boire. Une fois, il a attaqué les allemands. Il était courageux.
Je l'aimais beaucoup et on est restés amis.

Maddi CM2

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Un soir en 1918, le 9 octobre, un chien allemand s'est évadé.
Il était affamé et sans défense. Il perdait des poils. Il s'est fait attaquer par un obus, mais il n'était pas mort. Un soir, quand tout était calme, je suis allé chercher l'animal. Je lui ai donné du pain et de l'eau. Il s'appelait Macaron et il était marron.
Un jour, quelqu'un m'a tiré une balle, mais il s'est sacrifié à ma place. Macaron était mon seul ami.

Eloïse CM2

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Consignes : Que voit-on dans la tranchée ?
Ecrire plusieurs phrases.
Utiliser la majuscule et le point.

Les soldats creusent la terre. Il y a des fusils pour tuer les ennemis. Les arbres sont coupés. Ils ont froid. Le soldat écrit un poème ou une lettre. Ils vivent dans la terre et des flaques vertes.

Xana CP, Riley CP, Léonie CP, Nahia CE1


Les soldats sont dans de longues tranchées avec des flaques d'eau. Ils on des sacs et des barbelés pour se protéger. Ca empêche les allemands d'avancer. En dehors de la tranchée, il y a des arbres sans feuilles et morts.
Les soldats ont des fusils pour tirer. Un soldat s'entraîne à tirer. Il y a des explosifs dans les tranchées. Ils peuvent marcher accroupis dans la tranchée pour aller tirer plus loin.
Il y a des soldats qui se sentent malades. Ils ont froid car ils n'ont rien pour se réchauffer. Il y a deux rats qui veulent manger la nourriture. Les soldats sont affamés.

Mailen, Lili, Jon et Andoni CE1

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Consignes : Décrire en une quinzaine de lignes l'image.
Ecrire à un temps du passé comme si vous étiez un soldat.
Eviter les phrases trop longues.
Ecrire en deux paragraphes.

Il y avait des rats qui couraient vite, une chien assis et qui mangeait beaucoup. Quelques soldats s'occupaient. On voyait des flaques d'eau partout, on était dans la boue humide. Des pistolets étaient sur les bords des tranchées et par terre dans la boue. Des sacs de sable protégeaient nos tranchées. Quelques petits fils barbelés nous protégeaient des ennemis. Un soldat dormait bien dehors. Un poilu tirait pour tuer tous les allemands. Un autre soldat portait la mitrailleuse lourde pour tuer tous les soldats ennemis qui restaient. Des combattants laissaient dépasser leur tête au risque de se faire tuer. Un soldat écrivait des lettres pour après les envoyer à sa famille.

A loin, on pouvait observer des arbres morts. Il y avait aussi des tranchées des « boches ». Quelques allemands sortaient de leur tranchée. Des tranchées en zig-zag très longues partaient vers l'arrière.

Par Ellande CE2, Mattin CM1 et Peio M CM2

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